Natalia

NataliaJ?habite un port sur l?océan qui a gros passé maritime avec des quais de chargement encombrés de grues et de hangars. Le zone est très mal éclairée la nuit et c?est un endroit de trafics et de perdition mal fréquenté pour les bourgeois de la ville mais intéressant pour qui aime la faune nocturne et ses dépravations. J?en suis et j?y vais souvent pour sentir l?odeur vraie de l?humanité.Il y a le coin des dealers qui peuvent fournir tous les produits pouvant dégrader la lucidité et la santé depuis les cigares de contrebande jusqu?aux cristaux de synthèse les plus purs. Ils sont très organisés comme une entreprise avec des rabatteurs, des guetteurs, des caissiers différents des livreurs qui ont un service drive où le produit payé est lancé dans la voiture du client sans qu?il ait besoin de stopper son véhicule. Le stock est réparti et caché pour prévenir les descentes de police. L?organisation change souvent et de façon imprévisible pour éviter les fuites. L?argent récolté est évacué en temps réel pour se garder des vols. Les chefs sont de vrais managers qui ont monté un service de livraison en ville pour les riches clients apeurés. Quand un client est à cours de cash ils lui proposent d?autres solutions tournant souvent autour de l?utilisation de sa copine pour l?autre trafic important le sexe. Le commerce du sexe se fait le long d?un boulevard qui longe la zone portuaire. Les filles font des feux avec des palettes ou des vieux pneus et attendent en se montrant dans la lumière des flammes qui réchauffe aussi leur nudité à la saison fraîche. Le client en voiture les matte en passant lentement et quand son choix est fait il lui fait signe akdeniz escort d?approcher et la négociation commence. Elle porte surtout sur le prix car les filles font toutes les mêmes prestations : pipe, baise, avec supplément sodomie. Pour les prestations plus compliquées il faut aller voir des escortes qui travaillent en studio sur rendez-vous. Ici c?est basique et souvent vite fait dans la voiture avec ou sans préservatifs selon l?intelligence du client et de la pute. Les filles sont de toutes origines avec bien sûr des migrantes récentes bulgares, roumaines, africaines, ukrainiennes, qui ont fui des situations invivables pour trouver pire ici. Bien qu?assez jeunes beaucoup sont très quelconques physiquement. Ce ne sont que de pauvres filles qui ont parfois laissé un enfant au pays. Elles sont toutes sous la surveillance de macros qui prétendent les protéger en empochant leurs gains. Ils roulent dans de très grosses bagnoles de meilleures marques et passent leurs journées en terrasse à parloter et boire. Mais quand on est un visiteur du soir régulier on peut repérer quelques filles qui font exception en étant véritablement belles et pas idiotes du tout. J?ai repéré une très grande fille qui détonnait car elle était élégante sans aucune vulgarité tout en exhibant d?immenses cuisses et de jolies fesses à peine couvertes d?une minijupe. Elle était le long du boulevard un peu à l?écart des groupes constitués. Je me suis arrêté pour lui parler. Elle avait un joli accent russe, s?appelait Natalia et parlait un français sommaire mais clair. Elle avait une approche plus subtile que les autres. Elle me dit « Tu me plais, mezitli escort tu es beau gosse, si tu veux on peut aller faire un tour ». Je lui ai demandé ce qu?elle proposait. « Passer un bon moment tous les deux, je te fais plaisir et tu m?aides à survive. On peut passer une heure ensemble dans un coin tranquille si tu veux ». Elle avait une jolie voix, semblait charmante. Je lui ai demandé son prix qui était classique et plutôt raisonnable vu son châssis. Je lui ai ouvert la porte et elle est montée en me disant « J?ai eu froid, tu peux pousser le chauffage ». On a roulé quelques centaines de mètres et elle m?a indiqué un parking d?entreprise sombre et vide à cette heure-là. On a parlé un moment d?elle. Elle m?a dit qu?elle avait fait des études dans son pays mais qu?ici elle ne trouvait pas de travail et qu?en attendant des jours meilleurs elle tapinait en essayant de rester prudente. « Je ne fais que des prestations protégées, tu dois payer d?abord et pour être franche je ne fais pas la sodomie car je n?aime pas ça ». C?était clair, je lui ai donné l?argent et je me suis penché sur elle pour l?embrasser. Elle n?a pas ouvert sa bouche mais son baiser avec ses lèvres était doux et humide. J?ai touché ses seins qui étaient assez petits et elle a spontanément quitté son haut. J?ai admiré sa poitrine nue et menue et lui ai caressé les seins. Elle avait l?air d?aimer ça surtout quand j?étais précis sur ses tétons. J?ai mis une main sur sa cuisse puis entre ses cuisses qui étaient longues, minces et serrées. Je lui au caressé l?intérieur des cuisses en remontant progressivement. Au bout d?un moment elle les écartées yenişehir escort un peu et j?ai posé mes doigts sur la culotte qui protégeait sa vulve. Je suis resté là en la massant doucement et en regardant son visage. Elle était belle dans la lumière tamisée et ne fuyait pas mon regard. Quand mes gestes sont devenus plus précis sur son sexe elle a ouvert la bouche et j?ai vu ses dents blanches. Elle m?a dit « c?est bon, tu es doux, j?aime » et elle a écarté sa culotte d?une main. Je l?ai pénétrée entre ses lèvres avec deux doigts et je l?ai caressée à l?intérieur de son vagin. Elle m?a regardé et dit « attends je vais enlever ma culotte ». Elle l?a posée sur le tableau de bord et à retroussé sa jute autour de ses hanches. Elle était complètement épilée et très douce. Je lui ai fait l?amour avec ma main. Elle s?est mise à gémir et à bouger son bassin en rythme. Après peu de temps elle soupira et me dit « je te mets un préservatif et tu viens au chaud ». J?ai quitté mon pantalon et mon slip. Je bandais assez fort. Elle m?a enfilé le condom avec douceur, elle a incliné son dossier et en écartant ses cuisses me dit « viens maintenant j?ai envie de toi ». On n?a pas baisé mais on a fait l?amour avec attention pour l?autre. Ça a duré longtemps car on était très bien l?un dans l?autre. Je lui ai de nouveau massé les seins en la pénétrant plus profond. J?ai senti qu?elle contractait son vagin. Et quand elle a jouit je n?ai pas pu me retenir. On s?est quitté avec regret et je l?ai déposée devant chez elle. J?ai pensé à elle tout le lendemain. Je suis allé sonner chez elle. Elle m?a ouvert sa porte et son lit et on a remis ça à domicile. On a eu une relation secrète de quelques semaines car moi je n?étais pas libre. Je l?ai aidée à trouver du boulot. Elle est devenue une amie que j?ai présenté à un copain. Ils sont en couple depuis cinq ans maintenant et nous deux nous avons de la complicité et un secret bien gardé.